La Conférence des Premiers Présidents de SYNDICAT AVOCAT CITOYEN, va-t-elle accéder à la demande de l'actuel bâtonnier Jean-Michel SOURDIN ?.
Des mauvaises langues "sourdinent" qu'il a déjà laissé choir son petit ami Claude ROY, en signe de bonnes prédispositions.
En effet, dans les conclusions récapitulatives, déposées en ce 30 novembre 09, devant le Président Patrick CHEVRIER, dans la procédure de divorce de Isabelle BIGNON, fille du dit Claude ROY, il abandonne purement et simplement:
1) la demande de divorce,
2) la garde de l'enfant M..... BIGNON. Cette petite fille violée par son oncle Guillaume ROY, chez le grand-père Claude ROY.
Il ne reste donc plus, pour le Président Patrick CHEVRIER:
faire droit aux demandes expresses sollicitées dans les conclusions récapitulatives déposées en ce 30 novembre 09, par Pascal BIGNON, père protecteur de la petite M..... BIGNON, à savoir:
1) accorder la garde de la petite M..... BIGNON à Pascal BIGNON, le papa,
2) accorder l'article 700 du NCPC à Pascal BIGNON.
EN RESUMER
Jusqu'à présent les services de justice, en toute connaissance de cause, n'ont jamais pris de mesure de protection pour écarter toute récidive de viol avéré sur la petite M..... BIGNON.
Si cette affaire connait un dénouement heureux s'est grâce à la ténacité de la famille du père protecteur et de leurs amis.
Ce groupe soudé face à la turpitude des pédocriminels a fait valoir le droit contre vents et marées, et nous sommes tous récompensés pour avoir délivré cette malheureuse enfant des griffes du ou des violeurs.
Il est bon de noter que l'enquête diligentée par nos soins a permis:
- de tracer certains intervenants dans cette affaire, des adeptes de: "école en bateau", ou "baleine blanche", qui se retrouve trop souvent à des postes clés, de l'administration ou de la "vie associative".
- que les ramifications d'organisation pédocriminelle et nauséabonde telle que CORAL, sont particulièrement actives dans notre pays et doivent, impérativement être neutralisées, au moins par la publicité, quelque soit le niveau où on les retrouve dans notre société.
Sauf si, bien sûr, elles s'auto-détruisent spontanément.
Les professionnels de la justice et de l'éducation veulent échapper à la « dictature du fait divers » à propos des abus sexuels sur les enfants.
Un réseau face à l'opinion
Plus de deux cents personnes, travailleurs sociaux, enseignants, médecins, magistrats, avocats, policiers et gendarmes ont participé toute la journée de mardi à un forum sur les enfants victimes d'abus sexuels. Un sujet qui mobilise, révélant la force et la complexité du réseau reliant tous ces professionnels, invités par la directrice du centre communal d'action sociale, Catherine Jacquemin. Les témoignages se sont succédé.
« Malgré leur indépendance, les magistrats sont perméables à l'opinion publique déclare le procureur Alexis Bouroz. La flambée des signalements d'abus des années 90 s'est effondrée après « le cataclysme d'Outreau », qui a été suivi par ailleurs d'une vague de relaxes. Le système a dû se remettre en question.
La parole de l'enfant
Le Dr Morillon met en avant la fragilité du témoignage, pièce essentielle de l'enquête. « Il faut faire le maximum pour ne pas polluer la parole de l'enfant, qui risque ensuite de se fabriquer de faux souvenirs. » Cela suppose de « le laisser parler sans l'interrompre » et de le questionner ensuite seulement, d'une façon neutre et ouverte, excluant la réponse par oui ou par non. « L'enfant veut faire plaisir en apportant une réponse : il faut lui dire qu'il a le droit de ne pas savoir quoi dire, ou de ne pas avoir compris la question. » Il peut également écrire, ou dessiner, quand il ne peut pas verbaliser l'innommable.
Conseil aux non professionnels : ne multipliez pas les interrogations. Donnez l'alerte : la dénonciation calomnieuse n'existe qu'en cas de volonté de nuire.
L'agresseur
« La monstruosité humaine n'a pas de limite » souligne au passage le procureur, les bébés n'y échappant pas. Il n'y a pas de profil type d'agresseur, même s'il y a des auteurs qui ont été eux-mêmes victimes.
Les milieux carencés, et l'alcoolisme sont mis en avant : ils sont mieux repérés car encadrés par l'aide sociale, mais en fait toutes les classes sont concernées. Même les femmes peuvent être impliquées. Il y a aussi des agressions entre frères et soeurs, ou cousins.
Le rôle de la mère est parfois ambivalent : par rapport à un compagnon dominant qu'elle craint, voire qu'elle aime, par rapport à la peur de perdre les subsides, ou encore vis-à-vis du reste de la fratrie, ou de la pression du reste de la famille. À l'inverse, un divorce peut pousser à l'instrumentalisation contre le conjoint.
L'enfant lui-même déteste ce qu'on lui a fait, mais pas forcément son bourreau. Certains se libèrent en ayant pu mettre un nom sur ce qu'ils ont vécu, d'autres au contraire surprennent en ne montrant pas d'émotion.
Les troubles psychiques sont souvent graves et durables, parfois jusqu'à trente ou quarante ans après. Mais tout varie d'une personnalité à l'autre.
Gérard LEBAILLY. Ouest France
LETTRE OUVERTE :
Monsieur le Procureur Alexis BOUROZ vous ressassez régulièrement, comme beaucoup de Magistrats, cette douloureuse affaire OUTREAU.Une affaire qui soit dit en passant n'a toujours pas été résolue.
Je vous rappelle monsieur Le Procureur, que précisément dans votre fief de Saint Malo et Dinan, rien, absolument rien, a été fait pour écarter un pédocriminel reconnu et fiché depuis plus de vingt ans, de sa petite fille régulièrement violée dès l'âge de trois ans et demi.
Je vous ai bien entendu Monsieur le Procureur quand vous dites :
"Malgré leur indépendance, les magistrats sont perméables à l'opinion publique".
Il vous sera donc aisé d'entendre le père protecteur qui pourra vous démontrer les incohérences des Magistrats, dans cette affaire.
Pour ma part je possède également, une copie intégrale du dossier et me tiens à votre entière disposition afin que vous nous aidiez à sortir cette enfant des griffes du pédocriminel.
Je suis bien certain que vous connaissez, vous même, ce dossier, s'agissant du fiché Claude ROY, castré chimiquement et dont le fils Guillaume a suivit sur ce plan, les traces de son père.
Copie à :
Président de la République
Ministre de l'Intérieur
Ministre des affaires Sociales
Monsieur le Préfet d'Ile et Vilaine
Monsieur Le Président du Conseil Général
TGI de Saint-Malo
TGI de Dinan
Dr MorillonAFP
Capital
Marianne
L'ExpressOuest France